Bonjour ou bonsoir à vous,
Ayant vu que vous recherchiez des rédacteurs, je me suis donc demandé pourquoi je ne tenterai pas ma chance.
Bref, trêve de blabla, je me présente !
In Game
Je suis Zoha, disciple d’Eniripsa de cercle 187. Comme tout mes acolytes qui se respectent, j’ai choisis la voie de l’intelligence couplée au soins ce qui me permet d’être une personne de soutiens ou pas.
Concernant mes guildes, j’ai été longtemps dans Dry-Sword, Planet-Union ou Les Promesses du Crépuscules qui ne m’ont, à force, pas vraiment plu par faute d’ambiance ou parce que le meneur décidait sans cesse de se retirer/revenir (Veynorenoire pour LPdC). Je suis actuellement dans Apocalyspe Now qui me plait sincèrement, bref.
In Real Lyfe
Je m’appelle Alexandra, j’ai la vingtaine et je viens de Belgique. J’ai suivit des études de comptabilité ainsi que de bureautique mais pas la peine de me demander d’être votre comptable ou votre secrétaire !
Adorant la lecture, j’aime aller m’endormir après un bon livre ou tout simplement après une série.
En ce qui concerne mon expérience dans le domaine de rédacteur et bien il n’y en a pas vraiment. J’ai toujours été assez bonne en français pour une rédaction, dissertation ou autre alors pourquoi pas tenter d’être rédactrice afin d’aider son serveur ?
Ce qui me pousse à vous rejoindre est assez simple. Comme je l’ai dit au-dessus, j’aimerai aider mon serveur et disons que je le fait déjà; je suis très active sur le forum officiel que ça soit dans la section Domen ou autre tout en débattant pour mettre notre serveur en avant. Et puis, vous me semblez être sérieux et c’est pourquoi j’aimerai faire partie de votre équipe.
Laissons place à mon RP. Je tiens tout de même à dire que je ne suis pas vraiment experte mais passons.
Le vent, c’était le vent qui soufflait sur ma peau nue. Pourquoi étais-je là, sans vêtements ?
Encore une question sans réponse. Un jour ou l’autre, il faudra bien que je sache ce qui est arrivé, ce qui m’est arrivé.
Après quelques minutes, je décidais de suivre le chemin de terre mais avant il me fallait des tissus pour me recouvrir. Ayant prit quelques longues feuilles, je m’étais mise en marche mais un bruit attira mon attention. Qui étais donc là ? Je regardais autour de moi mais, mise à part du bois et des buissons, il n’y avait rien. Je continuai donc et essayai de retrouver mes esprits et de savoir ce qui m’était arrivé. D’ailleurs, que faisait une chevillière de couleur or sur ma cheville droite ?
Encore un bruit ! Je me retournai mais toujours rien. Était-ce mon imagination ? C’était impossible.
Perdue dans mes pensées, je bouscula sans le vouloir un jeune homme.
- Je .. Excusez-moi, balbutiai-je.
- Ce n’est rien, me répondit-il. Je vous suivais depuis quelques instants.
Je le regardai de bas en haut et me demandai pourquoi donc me suivait-il. Était-il un voleur ? Prise de panique, je couru mais n’ayant pas vue une branche, je tomba à même le sol. Il m’aida à me relever et je le remercia d’un sourire.
- Vous vous demandez qui je suis n’est-ce pas ?
Voyant que je ne répondais pas, il continua:
- Je m’appel Shuur et on m’a donné l’ordre de vous surveiller.
Je le regardai comme ci je voulais savoir si il mentait ou non.
- Qui vous a donné cet ordre ?
- C’est votre mère, juste avant de mourir.
- Ma .. Ma mère ? Disais-je en écarquillant les yeux. Comment est-ce possible ?
Il me prit la main et me fit comprendre qu’il fallait reprendre la route. Je le regardais parfois du coin de l’œil pour essayer de comprendre ce qui se passait, pour savoir si cette personne devait m’être familière ou non mais c’était encore des questions sans réponses.
Après quelques heures, on s’arrêta devant une Taverne. Il m’offrit gentiment de l’eau fraîche et me parla:
- Vous êtes en danger, Zoha. Votre mère a donné sa vie pour que vous soyez tranquille mais Amayiro a mentit alors qu’il avait donné sa parole ..
Zoha, je m’appelais donc Zoha.
- Qui est Amayiro ?
- C’est le chef de la Milice de Bonta.
- Bon .. Bonta ?!
Ça y est, je me rappelais de ce qui était passé; enfin presque.
- Je me suis enfuie de chez moi voulant venger la mort de mon père grâce aux nombres de miliciens tués, commençais-je. C’est donc pour cela qu’Amayiro voulait de moi; je devais mourir. Ma mère a cru qu’en donnant sa vie, cela m’épargnerait. Je .. Tout est de ma faute !
Il caressa doucement ma main droite tout en me rassurant que je n’étais pour rien; que quoi que j’aurais fait, ma famille était recherché malgré tout. Je le regardais dans les yeux et vit une petite lumière. Shuur, le gentil sram qui avait toujours prit soin de moi, celui qui était mon ami et que je connaissais depuis toujours.
- Je me rappelle de toi, de nos jeux ensembles étant petit …
A ce moment, des gardes entrèrent dans la Taverne, des gardes d’Amayiro. Il fallait fuir et de suite.
On quitta vite le lieu et c’est là qu’on prit connaissance que notre vie serait à base de fuite ou de combats contre ces gardes. Je ne serais jamais tranquille; on ne le sera jamais.
- Allons à Brakmar ! Me dit-il. C’est notre seule chance d’être libre.
On fit un détour aux Landes de Sidimote et après quelques heures de marche, une façade sombre se dessina, Brakmar était droit devant nous. Nous étions libre … du moins c'est ce qu'on croyait.